DOCUMENTATION GRATUITE

Contactez-nous 01.46.00.68.28

L’intervention internationale après une catastrophe naturelle

La multiplication des catastrophes naturelles  (1ouragans, inondations, tsunamis  …) et l’augmentation des acteurs intervenant après catastrophes exigent une intervention rapide, coordonnée et planifiée.
 

Les différentes phases d’intervention

Les premières étapes concernent les opérations de sauvetage, la couverture des besoins immédiats de la population (1nourriture, eau potable, soins médicaux, prévention des épidémies, réalisation et gestion de camps, protection des enfants…) et la remise en fonction temporaire des outils de communication, de transports et d’infrastructures publiques essentielles. Gouvernement local, agences des Nations Unies, croix Rouge, ONG … unissent leurs forces pour sauver des vies et répondre aux besoins les plus urgents.

La première phase doit permettre de sauver des vies, de sortir des personnes des décombres, de soigner les malades. Elle nécessite du personnel spécialisé dans les secours et aidé par des chiens. C’est également l’intervention de masse des personnels soignants, l’installation d’hôpitaux gonflables comprenant des blocs chirurgicaux et la réalisation de camps.

La reconstruction

Se reconstruire après un drame qui a fait plus de 8 000 morts, qui a dévasté les infrastructures, qui a entraîné un mouvement de population ; tout cela dans un des pays les plus pauvres du monde où ¼ de la population vit en dessous du seuil de pauvreté : voilà l’enjeu du Népal après le tremblement de terre d’avril 2015.

Le coût de reconstruction est estimé à au moins 5 milliards de dollars dans ce pays dont le PIB se situe au-dessous de 20 milliards.

Le premier ministre Népalais vient de lancer un appel à la solidarité pour constituer un fonds de reconstruction de deux milliards de dollars.

La Banque mondiale intervient généralement également dans le cadre de son « dispositif mondial de réduction des effets de catastrophes » lancé en 2006.

Les pertes économiques liées à des catastrophes naturelles sont passées de 50 milliards à 200 milliards de dollars par an entre 1980 et 2012.
¾ de ces pertes économiques seraient le fait de phénomènes climatiques qui pourraient devenir de plus en plus ravageur dans les années à venir.
Les Etats sont appelés à accroître les investissements susceptibles de diminuer les dommages en intégrant ces risques dans leurs plans de développement économique.

Contactez-nous

Demande de rappel

Un projet de formation ? Nous vous appelons !*

callback

Planifier un rappel :

Jour
Heure

Merci de renseigner les champs obligatoires

thank you

Merci et à très vite

Un conseiller vous recontactera pour vous renseigner ou vous accompagner dans votre projet de formation.